Qu’est-ce que le light language, aussi appelé le langage de la lumière ?

Vous avez peut-être vu sur mon compte Instagram que j’utilise parfois des filtres avec des dessins sur le visages, des signes, des codes ? Je m’intéresse depuis deux ans au light langage et j’ai décidé depuis peu de m’approprier le mien pour activer certains codes (pour moi, pour les autres et la planètes).

On peut expliquer le light language comme une forme de communication qui utilise l’énergie de la lumière pour se connecter avec les dimensions supérieures. C’est une langue sacrée (à la manière des hiéroglyphes) qui a été utilisée par les civilisations anciennes. Si je vous dis Lémurie ? Orion ? Arcturiens ? Cela vous parle ? Si ce n’est pas le cas, c’est complètement ok. C’est que ce n’est pas le moment pour cela 🙂
Le langage de la lumière est activatrice de géométrie sacrée, de symboles et de couleurs qui représentent différentes énergies et fréquences. Lorsque ces symboles sont combinés, ils créent un code lumineux qui peut être utilisé pour se connecter aux dimensions supérieures. C’est une manière de communiquer de manière multidimentionnelle. Elle fait appel à notre sub-conscience, à nos énergies, à nos ressentis.
C’est un langage parlé mais pas seulement. On peut utiliser ses mains, sa voix (pour chanter notamment) mais aussi l’écriture.

Le light language peut avoir de nombreux bienfaits ! Il favorise l’activation spirituelle, la manifestation et le développement mentale et psychique. C’est un outil puissant qui peut vous aider à vous connecter avec votre moi supérieur, vos guides et à recevoir des codes d’une autre dimension.
Il est spécialement indiqué pour :
libérez vos blocages énergétiques
– être davantage connectée à votre âme et à votre intuition
– améliorer votre alignement mental et corps
élever votre sagesse et votre niveau de conscience

Si vous cherchez à en savoir plus sur le light language, je vous donne rendez-vous sur mon compte Instagram car j’y parle de plus en plus de ce mode de communication et de connexions. Je vous parle des activations que je reçois.

Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à suivre la fantastique Sofia Angelita qui offre des formations en ligne sur le light language.

S’AUTORISER

Savez-vous que le principal frein à votre changement c’est… vous-même ? Vos croyances limitantes et les injonctions de la société sont un doux mélange pour nous empêcher de nous autoriser à nous aligner. Vous autoriser à être-vous même, à prendre des décisions pour vous (être souveraine), à prendre du temps pour vous, pour votre couple, pour votre travail… A ne pas être tout ce que la société veut que vous soyez !

Ce sont souvent les croyances bien ancrées (être une bonne mère/une bonne amante/une bonne business partner) en nous qui nous empêchent de nous réaliser et de prendre les décisions dont nous avons envie pour nous-même.

Je vous propose ici de prendre un temps pour vous poser plusieurs questions :
De quoi j’ai réellement envie ?
Qu’est-ce qui m’en empêche ?
Qu’est-ce que cela me fait ressentir (de la culpabilité, de la honte…)?
Si je ne ressentais pas cette peur (ou culpabilité) qu’est ce que je ferais ?Qui est ce que je serais ?
Comment je me sentirai après l’avoir prise ?

Je vous propose de visualiser vos réponses et vos émotions : qu’est-ce que cela suscite en vous ? C’est sans doute le moment de travailler également sur les émotions qui vous empêchent de vous autoriser : la honte, la culpabilité sont deux sentiments qui reviennent souvent et qui posent des limites à notre souveraineté.
S’affranchir des croyances limitantes mais également des personnes qui peuvent être des freins à notre épanouissement est aussi un chemin. S’autoriser c’est aussi prendre ses distances avec les personnes, les liens, les engagements qui nous entravent. Cela peut faire peur mais c’est nécessaire quand on a compris que notre automonie/souveraineté doit passer par ce détachement.

Connaissez-vous l’adage (en anglais s’il vous plait !) “you are enough” (vous êtes assez), c’est ce que j’ai envie de transmettre dans mes coachings ! Vous êtes assez et vous avez toutes les ressources en vous pour être enfin vous-même.

VOTRE (NOUVELLE) VIE PROFESSIONNELLE

Votre “congé” maternité (non mais qui nous a trouvé ce terme ?!) arrive à sa fin et vous vous sentez perdue ? Vous n’avez pas tellement envie de retrouver ce travail qui n’a plus de sens pour vous, depuis que votre priorité s’est déplacée vers votre bébé. Vous ne trouvez plus d’intérêt à passer tant de temps dans les transports et au bureau, loin de votre famille. Et puis, avec le retour au bureau, vient également beaucoup d’interrogations et d’angoisses autour de l’organisation : trouver un mode de garde, comment s’organiser le soir ?, pour les repas ? … et j’en passe.

Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule dans cette situation. La matrescence et la maternité font souvent office de déclic dans ses grandes interrogations de vie professionnelle : est-ce que ce je fais a du sens ? Est-ce que cela me rend heureuse ? Est-ce que ma manière de travailler est compatible avec une vie de famille ? Est-ce que j’ai envie de faire passer mon enfant après mon travail ? Comment je me vois dans 5 ou dans 10 ans ?

Ce sont ces interrogations qui m’ont poussée à changer de vie il y a maintenant dix ans. Je ne me sentais plus en phase avec le métier que j’exerçais dans l’industrie de la beauté. J’avais envie de plus d’authenticité dans le lien à l’autre, d’un métier qui corresponde à mes valeurs et surtout, j’ai compris que j’avais une furieuse envie d’aider les mamans qui étaient sur le même chemin que moi (celui de la maternité qui bouscule!).
L’aventure transformative de la maternité s’étend dans tous les domaines de notre vie, dont la vie professionnelle, et redistribue toutes les cartes.

Pourquoi ne pas profiter de ce moment charnière pour oser rêver à la vie que vous voulez vraiment mener ?
Pourquoi ne pas en profiter pour vous poser les bonnes questions sur ce que vous souhaitez pour vous et pour votre famille ?
Et si vous réfléchissiez concrètement à l’impact que vous voulez avoir dans le monde ?

C’est vraisemblablement le moment d’entamer un bilan de compétence ou un coaching pour mener votre entreprise là où vous souhaitez réellement aller (n’hésitez pas à aller voir mon coaching Mamapreneure -lien) et de mettre tout cela à plat.

Avez-vous déjà pris le temps de vous poser ces questions ? Peut-être d’écrire les “pour” et les “contre” de votre activité aujourd’hui ? Et de vous projeter dans ce que vous aimeriez pour votre futur ? Quelle femme souhaitez-vous être dans votre vie professionnelle ?

Bien sur, tous ces questionnements et tous ces changements peuvent faire peur tant ils remuent des croyances limitantes, des peurs sociétales, des projections, mais en étant bien accompagnée, je vous assure que vous pouvez mener la vie que vous souhaitez.

Avec tout mon amour,
Julia

LA QUÊTE DE L’EQUILIBRE

Qui n’a pas rêvé d’avoir une vie “parfaite” ? Une vie où vous avez votre place et où tous les autres domaines de votre vie sont parfaitement harmonisés ? C’est souvent le discours / désir des femmes que j’accompagne en coaching : vous aspirez à une vie plus simple, sans aspérité, où chaque tâche pourrait faire l’objet d’une photo d’Instagram à 1000 likes.
Alors je vais être honnête : cette perfection n’existe pas ! Je vous propose en revanche de me suivre dans une autre quête, celle qui vous mènera vers la sérénité et de la joie : la quête de l’équilibre.

Un équilibre dans lequel toutes les sphères de votre vie qui vous importent sont prioritaires sur toutes les autres. Rien ne sert d’essayer de jongler entre le travail, les enfants, la maison, les ami.e.s, la vie sociale, le sport si vous n’en appréciez aucun moment. On ne peut pas être partout et encore moins, être parfaite partout.

Je vous propose de faire un exercice : fermez les yeux et visualisez les domaines prioritaires pour vous en ce moment. Être présente pour vos enfants ? Prendre du temps pour vous ? Monter les échelons au travail ?
En déterminant ce qui est important pour vous, vous arriverez à vous focaliser dessus et à ne plus essayer d’être partout à la fois (oui, parce que c’est impossible !). Donnez vous le droit de ralentir et surtout, de mettre des domaines en recul. Cela peut être pour un temps défini, pour laisser l’espace à ce qui vous fait vibrer en ce moment. Vos besoins/envies ne sont sans doute pas les mêmes aujourd’hui qu’elles l’ont été il y a quelques mois et qu’elles le seront dans plusieurs mois.
En étant présente sur les domaines que vous avez identifiés, vous le serez pleinement et vous arriverez à vos objectifs. Cocher toutes les cases, c’est être à la recherche de la perfection et vous le savez au fond de vous, ça n’existe pas !

Pour un équilibre de vie aligné, il faut faire une meilleure connaissance de vous (de nos zones d’ombre), sur ce que vous voulez, sur ce qui est important, pour savoir dire non aux choses secondaires (ou bien les déléguer !).

Si vous ressentez que vous êtes bloquée dans cette situation, et ce serait bien normal (on ne nous a pas appris à prendre cette direction), inscrivez-vous au Mama Gang. On commence l’aventure le 17 mars ! Vous pourrez expérimenter à mes côtés des outils simples et puissants pour vous mettre sur le chemin d’un meilleur équilibre dans les différentes sphères de votre vie.

COMMENT MIEUX M’AIMER ?

On réduit souvent l’expression “s’aimer soi-même” à accepter notre corps mais ce n’est pas (que) de cela que je veux vous parler ici. Comment peut-on mieux s’aimer ? C’est-à-dire, être sa meilleure amie, la personne la plus bienveillante envers soi-même, qui encourage et félicite, qui accueille et observe, sans jugement.

Ce n’est pas une manifestation de l’égo, c’est simplement se (re)connecter à soi pour être à l’écoute de son être.

S’aimer c’est s’autoriser à briller, à se donner de l’importance, à écouter ses besoins et ses envies. C’est aussi aimer mieux les autres car en s’aimant suffisamment, on n’attend plus des autres qu’ils nous aident à nous aimer (vous avez déjà entendu quelqu’un dire “j’attends ma moitié” ? Eh bien je vous propose ici de vous aimer pleinement, et de vous considérer comme un être complet ! Oui, il ne vous manque rien pour être totalement entière et complète.

Pour cela, voici quelques pistes qui pourront vous aider à mieux vous aimer :
– Tout d’abord, changez votre discours intérieur et le regard que vous vous portez. Soyez bienveillante avec vous même, comme vous pouvez l’être avec les autres (avec votre meilleure amie par exemple).
– Vous pouvez aussi pratiquer la méditation. Instaurez une routine chaque matin en vous asseyant sur le bord de votre lit. Fermez les yeux. Connectez-vous à vos sensations. Observez sans juger.
– Je suis une grande amoureuse de l’EFT et je vous conseille d’intégrer dans votre routine un tapping qui vous permettra de vous recentrer sur vous, sur vos sensations et de ne pas lutter pour qu’elles partent, mais de les accepter. Je vous conseille de débuter avec mon kit se prioriser ici !
– Plus que tout, l’important est de se prioriser et de poser vos limites : des choses pour vous et uniquement pour vous. Faîtes-vous passer avant tout le reste ! Dîtes non à ce (ou ceux !) qui vous encombre et ménagez-vous des plages horaires avec des rendez-vous avec vous-même.
– Je vous conseille également de lire le livre de Gwenaëlle Persiaux (avec qui j’ai eu la chance de faire une formation passionnante) : Guérir des blessures d’attachements. Connaître son style d’attachement (sécure, anxieux, évitant ou désorganisé) et celui de ceux qui nous entoure, permet aussi de ne pas tomber toujours dans le même schéma affectif et d’avoir une meilleure acceptation de soi. C’est une lecture extrêmement intéressante sur nos réactions et j’ai l’honneur de vous partager ces enseignements dans mes coachings.

Quand on s’aime soi-même, on peut mieux aimer les autres (notre famille, nos amis mais aussi…le monde entier !), et quand notre réservoir d’amour est plein, il est plus facile de le partager. Et le monde en a grandement besoin.

Avec tout mon amour,
Julia

POURQUOI JE N’Y ARRIVE PAS ?

Dans mon coaching pour les entrepreneures que j’ai appelé « Mamapreneure », on me demande souvent avec fatalité “Mais pourquoi mon activité ne marche pas comme je le veux ?” et je vous accompagne pour que vous puissiez trouver la réponse en vous. Nous n’évoquons pas la conjoncture ou des raisons extérieures, mais je vous invite à chercher en vous-même la réponse #souveraineté #responsabilisation.
Vous êtes-vous connectées à vous ? A ce que vous avez vraiment envie pour votre activité ? A vos objectifs (précis) ? A ce que cela va vous apporter et apporter aux autres ? Je vous invite à fermer les yeux et à vous connecter à votre cœur pour (re)définir vos intentions, les visualiser et les demander à l’univers. Visualisez-vous en pleine activité : comment vous sentez-vous ? ou plutôt : « Qu’est ce que votre version de vous (celle qui a atteint ses objectifs) est en train de ressentir ? » Prenez un peu de temps pour observer ce que cela fait vibrer en vous.
Une fois que vos objectifs sont posés et que vous avez cette connexion, laissez le « comment » aux mains de l’Univers ! Oui, vous avez bien lu, c’est le moment de vous connecter à une vibration plus haute et à demander à l’univers ce que vous souhaitez pour votre activité et à lâcher prise sur la manière dont les choses vont se dérouler. Vous pouvez bien-sûr ritualiser tout cela en allumant une bougie par exemple. C’est vous qui voyez. Parlez depuis votre coeur.

Une fois que les choses sont posées : en avant ! On passe à l’action ! Car oui, si être patiente est une grande qualité, cela ne veut pas dire qu’il faut rester dans l’inaction. Pour pouvoir attirer les choses positives que vous voulez voir dans votre activité, il faut se mettre en ordre de marche. Pour commencer, par quelles plus petites tâches pouvez-vous découper votre objectif ? Je vous conseille de partir de petit, pour arriver à grand ! Chaque action vous rapprochera de votre objectif final.

Last but not least, je vous conseille évidemment de vous faire accompagner en coaching. Est-ce que vous connaissez l’adage “seule on va plus vite, ensemble on va plus loin” ? Je vous assure que cela se vérifie.
Le coaching peut vous aider à redéfinir vos intentions, à poser à plat vos tâches à accomplir, à vous aider à vous mettre dans l’action et à gagner du temps. Dans mon coaching individuel Mamapreneure, j’aide chacune de mes coachées à reprendre le pouvoir sur leurs activités et à ne plus subir les événements décidés par les autres pour elles. C’est VOTRE activité, c’est à VOUS de la définir, de poser les limites et les envies. C’est VOTRE chemin.

Je vous guide également à vous défaire du regard des autres, de vos croyances / émotions limitantes qui sont également un frein puissant à votre expansion.

Vous l’aurez compris, 3 mots-clés pour développer votre activité : Coeur, Univers, Coaching.
Pour en savoir plus sur mon coaching Mamapreneure, cliquez ici !

Avec tout mon amour,
Julia

MERE MAIS PAS QUE !

Depuis que vous êtes devenue mère, vous ne connaissez plus que cette facette de votre être : toutes vos actions sont principalement dédiées à vos enfants. Si on naît en tant que mère lorsque qu’on accouche (avez-vous lu mon article sur la matrescence ?), on perd aussi un peu de nous-même. Parfois il est difficile de retrouver ces parties laissées en chemin… laissez-moi vous guider !

Il y a énormément d’injonctions (sociétales, patriarcales et même… entre femmes ! Oui, vous la voyez vous aussi cette « mère parfaite » sur Instagram ?!) à être “la bonne mère” : celle qui aime inconditionnellement bien-sûr mais par extension, celle qui s’oublie, qui fait passer ses enfants avant tout : avant elle-même, avant son couple, avant son plaisir, avant ses envies, avant qui elle est tout simplement… Vous vous reconnaissez ? Je sais bien que oui, je rencontre ce même profil très souvent dans mes coachings.

La société nous a tellement inculquées que pour être une bonne mère on doit s’oublier, que nous nous sommes tout simplement …oubliées. Si vous êtes en train de lire cet article, je vous honore d’être là, vous êtes sur le chemin pour vous reconnecter à vous-même. C’est un sujet pour lequel je milite activement depuis plusieurs années : ne culpabiliser pas à être vous. Vous avez mille facettes, vous êtes tantôt la mère aimante, tantôt l’amie, tantôt l’amante, tantôt la fille/la nièce/la cousine, tantôt la personne qui aime la céramique (remplacer par votre hobby ;)) ou celle qui danse toute la nuit en boite de nuit.
Vous êtes tout cela à la fois, et c’est toutes ces facettes qui forment votre personnalité et qui sont importantes à votre équilibre.

Comment pouvez-vous vous reconnecter à vous ? Tout simplement en vous priorisant (de quoi J’AI besoin ? De quoi J’AI envie ?), en investissant en vous (pourquoi ne pas vous inscrire à cette expérience mère-veilleuse (en ligne) de la Mama Tribe où nous visiterons ce sujet en profondeur ?- lien) et en vous accordant du temps.

Il est important que vous puissiez (re)trouver du plaisir dans ce que vous entreprenez pour vous : aller au cinéma, voir une expo, aller marcher en pleine nature, prendre une heure pour vous et aller au yoga, réserver un massage… Tout ce qui peut vous faire du bien et que vous appréciez (sans culpabiliser, c’est aussi important pour que le plaisir soit ressenti à sa juste valeur !) !

Pensez-vous que vous avez besoin de travailler sur ça ? Est-ce que vous avez l’impression de n’être qu’une mère depuis que votre bébé est là ? Je vous invite à me rejoindre dans mon accompagnement de la Mama Tribe : offrez-vous ce temps pour vous, pour vous reconnecter à votre essence. Nous travaillerons ensemble au sein d’une tribu bienveillante de mamans à ré-apprendre à n’être pas que mère, pour être plus sereine et alignée.

Vous méritez d’être vous 🙂
Avec tout mon amour,

LA MATRESCENCE, CE GRAND BOULEVERSEMENT

Connaissez-vous la matrescence, ce phénomène physique, émotionnel et identitaire qui vous traverse pendant plusieurs mois ou années après votre accouchement ? C’est une période pendant laquelle on devient mère et que tout change en nous et que notre vision de notre environnement change également.
C’est un processus naturel (au même titre que l’adolescence, d’ailleurs il y a pas mal de similitudes si vous y réfléchissez bien !) que l’on traverse avec plus ou moins de sérénité. On dit souvent que l’accouchement correspond à la naissance d’un enfant, moi je vous propose ici, de parler de la naissance d’une mère !

C’est l’anthropologue Dana Raphaël qui en parle pour la première fois en 1973 dans son livre “Being Female” et qui explique que ce processus, ce « rite de passage », va à la fois changer le physique de la femme, mais aussi son statut au sein du groupe, ses relations, sa vie émotionnelle et ses centres d’intérêts dans le quotidien. Et comme j’aime le dire, “on ne naît pas mère, on le devient”. Je milite pour qu’on normalise ce flots de sensations et ce brouhaha d’émotions que nous traversons toutes. On se heurte souvent à la différence entre l’idéalisation de l’image de la mère que nous avions pendant la grossesse, à la réalité de nos sentiments ambivalents devant cette nouvelle maternité : et c’est bien normal !
On a envie de rester proche de son enfant et de l’aimer inconditionnellement (et tout le temps) mais on ressent le besoin d’avoir du temps pour nous et de (re)trouver notre identité. C’est ce qu’Alexandra Sacks, psychiatre, explique dans le sentiment de “rejet et d’attraction” : la jeune maman qui veut donner toute son attention à son enfant, mais aussi se connecter à ses propres passions et ses envies. J’entends régulièrement des mamans honteuses et culpabilisées de ces émotions contrastées. Vous quittez une vie pour en débuter une autre et cela est déroutant. Rien ne se passe peut-être comme vous l’aviez imaginé. C’est dur et vous êtes remplies de sentiments contradictoires. Parlez-en autour de vous : vous vous apercevrez que vos mères (si elles s’autorisent à en parler) et vos amies sont passées également par le même rite de passage. Aussi, qui dit “rite de passage”, dit “passage” : ça ne dure pas ! C’est une phase de transition qui sera bientôt derrière vous.
Faites-vous accompagner par une psychologue, thérapeute, une coach ou une doula si ce chemin est déstabilisant : elles vous aideront (je vous aiderai 😉 ) à remettre de l’ordre dans vos émotions et à accueillir avec plus de sérénité ce moment.
Ne perdez pas de vue que c’est temporaire, cela va passer, et que cette période est aussi une période de grande joie et de premières fois. 

Dans mon livre Bien vivre le quatrième trimestre au naturel, j’ai pu interviewé Camille qui m’a livré sa version de la matrescence, pourtant universelle : »Devenir maman m’a demandé du temps. J’ai mis du temps à comprendre que je ne pourrais pas exactement reprendre ma vie d’avant avec un bébé, que mes priorités allaient changer, que j’allais devoir ralentir un peu. Parfois, je m’en suis voulu et je lui en ai voulu de tous ces changements à gérer. C’est difficile d’accepter de devenir le repère d’un petit être vulnérable et fragile quand on perd soi-même ses repères et qu’on se sent également très vulnérable. J’ai mis du temps à me faire confiance, à me dire que j’étais capable de comprendre ce bébé et surtout que ce que je pouvais lui apporter allait lui suffire pour bien grandir et s’épanouir. »

Pour aller plus loin :
Je vous conseille évidemment de lire mon livre Bien vivre son quatrième trimestre au naturel !
Podcast La Matrescence de Clémentine Sarlat
TedX Alexandra Sacks : Une nouvelle façon de penser la transition vers la maternité  

CROIRE EN SON PROJET

Quand je vois quelqu’un qui réussit, j’ai toujours deux réactions : je commence d’abord par me réjouir de leur succès (et c’est bien normal : j’adore voir des gens qui réussissent, je trouve cela très inspirant). Et ensuite, je me demande tout le temps comment il / elle (iel ? ah !) a réussi.

Après avoir écouté et lu des dizaines (centaines ?) d’interviews d’entrepreneurs, j’ai trouvé quelque chose d’identique pour chacune d’entre elles : elles ont cru profondément en leur projet ! Grâce à une grande détermination, le courage de se lancer et la volonté de tenir leur vision, elles y sont parvenues. Croire en ce que l’on fait, voilà un élément essentiel du succès de vos projets.

Si cela parait simple au premier abord et si je me permets de l’aborder ici avec vous, c’est que je me rends compte en coaching que ce n’est pas une notion aussi naturelle que l’on pourrait imaginer. Savez-vous quelles sont vos limitations quand vous débutez un projet ? Je remarque que, souvent, dès que l’envie de passer à l’action est présente, il y a souvent un frein : le perfectionnisme ! En effet, pour nombre d’entre vous, si ce n’est pas parfait, cela n’a pas assez de valeur pour exister ! Et par conséquent, vous fermez ainsi la porte à des tas d’opportunités. Ma phrase préférée : DONE IS BETTER THAN PERFECT !

Lorsque j’ai commencé à réfléchir à mon projet d’oracle en septembre, j’aurais pu me dire que le timing était trop juste, que c’était une montagne à gravir, que je n’y connaissais rien en création d’oracle, que je ne savais pas par où commencer, qu’écrire 52 cartes relevait de la folie… Et pourtant. Pourtant, au plus profond de moi, j’y croyais ! Je croyais au fait que j’allais y arriver. J’avais cette certitude en moi que cet outil allait pouvoir aider les mères, et ça, c’est un moteur pour moi. Ce projet, j’en avais envie depuis des années. Aider les mères à se reconnecter à leur puissance, c’est la flamme qui brûle en moi. Les accompagner depuis presque 10 ans c’est mon quotidien. Cet oracle, je le visualisais dans mon cœur depuis près de deux ans. Il était là, en moi, et on me proposait enfin de le mettre au monde. Alors, j’ai dit oui ! Alors, soyons honnêtes, écrire ces 52 cartes a parfois été challengeant ; réfléchir aux illustrations que je voulais était un exercice à la fois difficile et excitant ; le pompon c’était quand même de demander juste avant de rendre mon document final à mon éditrice ce qu’elle pensait du fait de rajouter un mantra pour chaque carte (#balledanslepied). Ce qui est sûr, c’est que j’ai cru à ce projet dès la seconde où il est né en moi. Et dans un moment de doute j’ai simplement décidé que « bien sûr que je sais faire un oracle pour les mères afin de les aider à se connecter à la femme qu’elles sont ! ».
J’ai suivi avec foi le chemin de sa création, et malgré les peurs, j’ai continué à y croire.

Au-delà de croire en votre projet, je crois que l’important est aussi (et surtout) de croire en vous, en votre capacité à créer de belles choses. Je vous invite à vous faire confiance parce que vous êtes à la bonne place tant que vous créez quelque chose qui vous appelle du fond de votre cœur.

Pour aller plus loin, je vous invite à écouter le podcast de ma merveilleuse amie Anne-Claire Meret qui interview des personnalités qui créent depuis leurs coeurs et à regarder mon coaching individuel Mamapreneure qui vous guidera vers le chemin que vous méritez.

LES RITUELS DE PURIFICATION

Est-ce que vous ressentez parfois l’envie de faire un petit reset ? De commencer votre journée ou un rendez-vous (visioconférence, cercle, appel téléphonique etc.) en étant vierge de toute tension ? Je vous propose de suivre quelques rituels de purification pour vous nettoyer énergétiquement.

Chaque matin, j’aime débuter ma journée en mettant en place un « rituel de bulle de protection » : asseyez-vous au bord de votre lit, fermez les yeux, et visualisez une magnifique bulle de protection autour de vous, qui soit enveloppante, scintillante et très solide. Elle vous accompagnera tout au long de votre journée pour mettre une barrière énergétique entre le monde qui vous entoure et vous-même. Essayez, c’est assez bluffant ! Je l’ai appris à mes filles qui adorent en créer une autour d’elle les jours où émotionnellement, c’est plus difficile de se confronter au monde extérieur.

J’aime également faire des rituels de fumigation pour purifier les lieux, par exemple après une visite à la maison, dans mon cabinet, ou même pourquoi pas, après une dispute ou une discussion animée à la maison. Cela va permettre de faire un gros nettoyage énergétique des pièces dans lesquelles je me trouve, et ainsi, de dégager les mauvaises énergies. 

Vous allez peut-être entendre parler du palo santo, ce bois sacré devenu à la mode en Europe depuis quelques années, mais que je ne vous recommanderai pas car les forêts d’où il provient sont mises à mal. Je vous propose de vous tourner vers des plantes que vous trouverez plus facilement dans votre jardin ou sur votre balcon : le thym ou le romarin. Vous pouvez d’ailleurs vous faire des bâtons de fumigation en nouant ces plantes séchées ensemble et en y ajoutant de jolies fleurs avec de belles propriétés.

Il y a également un encens que j’aime beaucoup, le Nag Champa, venu tout droit d’Inde et utilisé dans les temples pour méditer et purifier les lieux. Il sent divinement bon et appelle au calme intérieur.
Faîtes brûler votre bâton ou encens, fermez les yeux, connectez-vous à votre énergie et passez dans la pièce que vous souhaitez purifier. Vous pouvez insister dans les coins. J’aime écouter une musique inspirante pendant ces moments, cela rajoute un côté doux à ce rituel. Avez-vous déjà testé ?

Après une journée difficile émotionnellement ou énergétiquement, vous pouvez activer mon rituel de purification préféré : celui de l’eau ! Comme on se lave pour être propre corporellement, je vous propose de vous laver énergétiquement et émotionnellement. Sous la douche, faites couler l’eau tiède sur vous. Fermez les yeux. Imaginez que cette eau lave et emporte avec elle tout ce qui a été difficile dans la journée : les émotions, les pensées, les situations. Vous pouvez même imaginer une eau scintillante (j’imagine une eau pailletée, car j’adoooore les paillettes !) qui vous enveloppe et vous nettoie de tout ce qui vous a déplu aujourd’hui. J’aime finir les journées un peu difficiles comme cela. Je me sens ensuite neuve, mes émotions et problèmes de la journée emportées. Je peux alors me préparer pour aller dormir en toute sérénité !

Avez-vous des rituels de purification différents ? Si vous ne les connaissiez pas, lesquels pensez-vous adopter ?